Paroles
Allons dans un p’tit bois charmant
Quand on y va que l’on est à l’aise
Allons dans un p’tit bois charmant
Quand on y va que l’on est content
Une demoiselle va s’y promenant
Quand on y va que l’on est à l’aise
Une demoiselle va s’y promenant
Quand on y va que l’on est content
Un beau monsieur va la suivant
Quand on y va que l’on est à l’aise
Un beau monsieur va la suivant
Quand on y va que l’on est content
Ils s’assayèrent dessus un banc
Quand on y va que l’on est à l’aise
Ils s’assayèrent dessus un banc
Quand on y va que l’on est content
Puis ils se dirent des mots charmants
Quand on y va que l’on est à l’aise
Puis ils se dirent des mots charmants
Quand on y va que l’on est content
Ils se quittèrent en s’embrassant
Quand on y va que l’on est à l’aise
Ils se quittèrent en s’embrassant
Quand on y va que l’on est content
Sources
Informatrice : Colette MINIOT ;
Enquêteur : Jean-François MINIOT ;
Lieu : La Forêt-sur-Sèvre (Montigny) ; Année : 1977 ;
Lien notice Cerdo : Allons dans ce petit bois charmant |Portail documentaire de l’UPCP-Métive ;
Fonds : Animation Rurale et Culture Populaire en Bocage (ARCuP) (Cerizay – 79) ;
Activités
Situation : des enfants face à une boiteuse avancent quand ils parlent vers la boiteuse qui recule et ils reculent quand la boiteuse avance vers eux et leur répond. A la fin, la boiteuse montre les cornes, tous les enfants crient et courent partout. La boiteuse en attrape un qui devient la boiteuse à son tour.
Aucune obscurité ne s’installerait jamais sur ces lampes, comme aucune obscurité ne s’était installée sur elles depuis des centaines d’années. Il semblait effrayant que la ville flambât à jamais au même endroit ; effrayant du moins pour les gens qui partaient à l’aventure sur la mer, et qui la voyaient comme un monticule circonscrit, éternellement brûlé, éternellement balafré. Du pont du navire, la grande ville apparaissait comme une figure recroquevillée et frêle, un miséreux sédentaire.





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