Paroles
Quand mon père semait son avoine (quater)
faisait comme ci, faisait comme ça,
se reposait là,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec sa voisine,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec son voisin
Quand mon père arrosait son avoine (quater)
faisait comme ci, faisait comme ça,
se reposait là,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec sa voisine,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec son voisin,
Quand mon père binait son avoine (quater)
faisait comme ci, faisait comme ça,
se reposait là,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec sa voisine
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec son voisin
Quand mon père coupait son avoine (quater)
faisait comme ci, faisait comme ça,
se reposait là,
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec sa voisine
Tapons des pieds,
Tapons des mains,
Un petit tour avec son voisin.
Sources
Informatrice : Violaine Guérin ;
Enquêteur : UPCP-Métive ;
Lieu : Maison des Cultures de pays, Parthenay (79) ; Année : 2025 ;
Lien notice Cerdo : Quand mon père semait son avoine − Portail documentaire de l’UPCP-METIVE ;
Fonds : projet CLAS (Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité) en partenariat avec le Centre socioculturel de Châtillon sur Thouet (79) ;
Activités
Situation : des enfants face à une boiteuse avancent quand ils parlent vers la boiteuse qui recule et ils reculent quand la boiteuse avance vers eux et leur répond. A la fin, la boiteuse montre les cornes, tous les enfants crient et courent partout. La boiteuse en attrape un qui devient la boiteuse à son tour.
Aucune obscurité ne s’installerait jamais sur ces lampes, comme aucune obscurité ne s’était installée sur elles depuis des centaines d’années. Il semblait effrayant que la ville flambât à jamais au même endroit ; effrayant du moins pour les gens qui partaient à l’aventure sur la mer, et qui la voyaient comme un monticule circonscrit, éternellement brûlé, éternellement balafré. Du pont du navire, la grande ville apparaissait comme une figure recroquevillée et frêle, un miséreux sédentaire.
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